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L’équipe d'aeroplans.fr.
Bombardier poursuit sa stratégie d'innovation.
Le géant canadien de l'aéronautique, malgré un carnet de commandes plus que maigre poursuit ses investissements dans l'innovation, et plus particulièrement dans le développement de ses deux programmes phares, le Learjet 85 et le CSeries.
Ces deux modèles ne comptabilisent que très peu de commandes à l'heure actuelle, moins de cent appareils pour chacune des version. Trop peu pour rentabiliser ces programmes industriels gigantesques. Jouissant d'une bonne santé financière, Bombardier semble vouloir jouer la carte de la reprise économique. Le marché sera-t-il au rendez-vous ?
Le Falcon 900LX bientôt disponible.
Le programme d’essais en vol et de certification du Falcon 900LX entre dans sa dernière phase. Les premières finitions commencent à avoir lieu sur les exemplaires destinés aux deux clients de lancement du nouvel appareil de la gamme. La certification finale est attendue pour octobre alors que les premières livraisons commenceront dans la foulée.
Alors que Dassault Falcon, filiale de Dassault Aviation en charge de la commercialisation du jet d’affaires vient de livrer son 75ème Falcon 7X le 4 mai, un nouveau dérivé de la gamme du Falcon 900 débarque. En ces temps de crise, Dassault ne baisse pas les bras malgré l’impact négatif d’annulations et de reports de livraisons. C’est ainsi que l’avionneur continue de s’étendre notamment en Asie où il vient de s’entendre avec Jet Aviation Hong Kong pour ouvrir une station services à Hong Kong d’ici la fin de cette année.
C’est reparti pour l’aventure pour Eclipse Aviation.
En 2008, la production du symbole des avions à réaction légers était stoppée. Finalement, compte tenu d'une situation économique désastreuse la société Eclipse Aviation fut liquidée fin février 2009. Alors que les Very Light Jet (VLJ) étaient destinés à un avenir radieux puisqu'affichant des couts de maintenance et de consommation en carburant bien moindre que des jets d'affaires réguliers, le projet Eclipse n'aura finalement pas survécu à la crise. Trainé en justice par ses fournisseurs puis reprise par une société luxembourgeoise peu fiable, Eclipse Aviation change aujourd'hui de mains et renait de ses cendres. Une transaction estimée à 40 millions de dollars. Au menu, une finalisation des projets lancés dans le passé, une rationalisation de l'activité et surtout, une nouvelle vague de conquête dans le monde de l'aviation d'affaires.
Comment se porte le Falcon ?
Quelques sujets d’inquiétude quant à l’avenir de la division aviation d’affaires de Dassault Aviation n’échappaient à personne. Après avoir subi de plein fouet la forte hausse des prix du pétrole suivie de la crise économique dans laquelle nous sommes toujours empêtrés, la vision du futur des Falcon n’était pas idyllique. Pourtant, malgré les prédictions les plus pessimistes Dassault n’a jamais autant produit de ces avions et la stratégie du groupe dans le monde prend une tournure un peu plus agressive.
En 2007, Dassault aura produit 77 avions d’affaires Falcon. Record battu pour l’avionneur français qui rêvait encore de son précédent nombre de 75 exemplaires livrés en 2001. Cependant, c’est un peu moins que l’objectif que s’était fixé le groupe pour cette année. En juillet 2009, la cible de 80 appareils était à l’ordre du jour.
Bonnes fêtes !
Toute l'équipe d'aeroplans vous souhaite d'excellentes fêtes de fin d'année. Nos voeux vont d'ores et déjà à l'A400M dans l'espoir que le projet ne tombe pas à l'eau. Au Rafale, en attendant qu'il décroche pour de bon un beau contrat export. Et bien sûr, vers la prochaine génération de lanceur européen encore dénommée Ariane 6 et sur laquelle nous devrions avoir plus de détails. Rendez-vous en janvier pour de nouvelles aventures.
Période estivale = décrochage.
Comme vous avez put le remarquer, la quantité d'articles publiés chaque semaine sur aeroplans.fr a diminué alors que les beaux jours sont arrivés. La période estivale a en effet envoyé l'équipe de rédacteurs aux quatre vents. Entre vacances bien méritées, stages, tour du monde jusqu'à la fin de l'année et prise de postes à l'étranger, l'été s'annonce assez calme sur nos pages. Cependant, vous avez déjà pu noter que nous faisions au mieux pour traiter l'actualité la plus importante à nos yeux. N'oubliez pas que vous aussi vous pouvez participer à la vie du site en nous soumettant vos propres articles via notre adresse : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.. Plus qu'un moyen pour vous de voir vos articles publiés, cela participera à la continuité d'un site qui compte de plus en plus de fidèles que nous remercions au passage.
Focus sur le Learjet 85 ou l'innovation comme sortie de crise
Alors que les majors de l'industrie du jet d'affaires sont à la limite du décrochage, et réduisent tour à tour leurs cadences de production, Bombardier a fait le choix de l'innovation. Depuis le début de la crise malgré un carnet de commandes désespérément vide et un stock d'appareils qui s'accroit, il a intensifié ses investissements dans le programme de développement de son dernier né : le Learjet 85 alors même que ses ventes dans le domaine aéronautique ne sont pas au beau fixe, le Cseries ayant quelques difficultés à percer.
Alors que tous les industriels du secteur réduisent leurs voilures et attendent en croisant les doigts, une hypothétique reprise de la croissance mondiale liée très étroitement à l'aviation d'affaires, Bombardier a fait le choix de l'innovation. La stratégie d'investissement du groupe canadien est-elle en phase avec le marché ? Bombardier joue t'il à la roulette russe ?
Les constructeurs de jets d’affaires se jettent dans l’arène de la communication
Traditionnellement discrets, les constructeurs de jets d'affaires lancent à tour de rôle de grandes campagnes de communication afin de redorer le blason du jet d'affaires violemment attaqué par les médias et politiques depuis le début de la crise.
De nombreuses entreprises notamment les multinationales disposent de tels appareils pour permettre le déplacement de leurs dirigeants aux quatre coins du monde sans les contraintes liées aux horaires et différentes escales imposées par les compagnies aériennes. Cependant, de tels déplacements coutent cher, il faut compter le coût du carburant, les taxes d'aéroports, le personnel naviguant, mais aussi les couts d'entretien, de parking, d'assurance ou encore le coût d'achat. Les entreprises craignent de plus en plus les médias qui dénoncent l'utilisation du jet d'affaires en ces temps difficiles de réduction budgétaire et licenciement, ce qui affecte l'image des sociétés propriétaires de ce type d'avion ou qui utilisent des services dits de « Air taxi ».
Longtemps considéré comme un symbole de réussite et de fortune, les entreprises cachent de plus en plus leurs jets et repoussent les livraisons ou leurs achats à plus tard par crainte de la réaction de l'opinion publique.
Comment les avionneurs réagissent t'ils fassent à ces attaques informationnelles pour sauvegarder l'image de leurs avions et donc de protéger leurs marchés ?
Gulfstream : 30 jours pour convaincre !
En ces temps difficiles pour l’industrie aéronautique comme nous le prouve l'annonce récente de l'avionneur Français Dassault qui reporte la sortie de ses nouveaux modèles, les constructeurs cherchent de nouvelles stratégies afin de vanter les mérites de leurs appareils.
Gulfstream a fait parcourir à ces deux derniers nait de la gamme jet d’affaires (G150 / G200) un périple à travers le monde afin de supporter les équipes de vente locales et internationales par le biais de démonstrations.
L’aviation d’affaire mondiale dominé par l’Américain Cessna !
L’industrie du jet d’affaires a vu ses carnets de commandes croitre de façon exponentielle ces dernières années en raison notamment de l’augmentation des contraintes dans l’aviation civile ainsi que du manque de flexibilité. Le taux de croissance à deux chiffres de la compagnie NexGen illustre bien la force de cette demande.
Cessna a annoncé fin 2008 un record de livraison sur le sol européen et affirme avoir livré pas moins de 1,000 appareils de la série Citation. Il faut dire que sur le segment des jets de taille moyenne permettant de relier les principales villes européennes entre elles, la concurrence européenne n’est pas rude.
Eclipse Aviation et la mort des microjets ?
Au départ, les microjets ont été conçus dans les années 80 pour satisfaire aux entrainements militaires et ce, notamment en France. Suite aux évolutions rapides qu'a connu le marché des avions d'affaires, les constructeurs et en premier lieu Eclipse, se sont intéressés à ce type d'appareils. En effet, des appareils plus légers sont plus simples d'utilisation et surtout plus économiques. Un microjet peut embarquer de 4 à 6 passagers et ne nécessite qu'un seul pilote. Le nombre de pistes accessibles est donc beaucoup plus important que pour un jet plus lourd de type Falcon ou autre.
On pourrait donc croire que ces temps de récession auraient favorisé les ventes de ce type de jets. C'est le contraire qu'Eclypse nous démontre aujourd'hui. Quels sont les raisons qui font que des appareils pourtant plus économiques et plus simple d'utilisation ne se vendent plus alors que le marché de jets d'affaires tient toujours bon ?
Socata : Un Bimoteur pour 2009
Socata a annoncé avoir l’intention de produire un bimoteur dans un an très certainement à l’occasion de la NBAA (le salon mondiale de l’avion d’affaire) qui se tiendra à Orlando en octobre 2009.
Actuellement, la Societe Socata produit le TBM 850, un monoturbopropulseur d’affaire de six places. Cet appareil rencontre un fort succès notamment sur le marché Américain qui représente 75% de la production. Preuve de ce succès, la production 2009 est dors et déjà vendue.